A la rédaction de cette note, je sors du congrès national de l’AFVAC à Lille. Trois journées toujours riches d’enseignement, de partage et de festivités (il faut bien le dire). C’est une occasion presque unique de pouvoir échanger avec ses anciens camarades d’école, les laboratoires, les confrères de tous bords et même l’ordre ou les syndicats dans une atmosphère détendue. C’est lors du module panprofessionnel que je co-animais, et portant sur les relations intergénérationnelles au sein de la profession, que certains intervenants en sont venus à glisser la notion de généraliste et de spécialiste en suggérant que la spécialisation pourrait être à l’origine de certains maux (notamment du manque de vétérinaires). Pour information, en 2022, l’ordre recensait 364 spécialistes contre 918 inspecteurs de la santé vétérinaire, soit 2,5 fois plus….